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Samizdat

Pourquoi défendre Israël?




Rebecca J. Brimmer (Bridges for Peace - 2007)

Au cours de mes voyages dans le monde je rencontre des chrétiens de tous horizons. Bridges for Peace–Ponts pour la Paix– est une organisation inter-dénominations et nous sommes donc invités par différents mouvements. Il arrive assez souvent que des personnes, un peu déconcertées, viennent me voir me disant qu’elles ne comprennent pas pourquoi il faudrait s’intéresser à la nation et au peuple d’Israël. Dans cet enseignement, je voudrais partager quelques pensées et raisons pour lesquelles les chrétiens doivent s’intéresser à Israël.

Dieu a choisi Abraham
Tout a commencé lorsque Dieu a choisi un homme appelé Abram. « L’Éternel dit à Abram: Va-t’en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi. » (Genèse 12:1–3)

Abram (qui plus tard devint Abraham) vivait à une époque où l’on adorait de nombreux dieux. Il y avait des dieux de la fertilité, de la pluie, de la guerre, etc. Chacun priait le dieu qui pouvait lui donner ce dont il avait besoin. Si la pluie était bonne, le dieu de la pluie était favorable, mais s’il y avait une sécheresse, il était mécontent. Ces dieux étaient souvent estimés selon leurs faveurs envers ceux qui les priaient.

On sait peu de choses sur la jeunesse d’Abram, mais il est certain qu’il vivait dans une société païenne qui vénérait les idoles. L’un des nombreux commentaires rabbiniques sur Abram raconte que son père Térach était fabricant d’idoles, mais qu’Abram en aurait été déçu et aurait décidé de suivre Dieu. Cependant, la Bible présente les choses un peu différemment: c’est Dieu qui choisit Abram. Et je suis persuadée, d’après la réaction de ce dernier, que sa rencontre avec Dieu fut puissante. Abraham écouta Sa voix et Lui obéit. Ce n’est pas rien de quitter sa famille, sa maison et sa patrie pour une autre partie du monde. Je le sais! C’est ce que mon mari et moi avons vécu lorsque nous avons déménagé en Israël, mais nous avions l’avantage de savoir où nous allions. Abram a emballé ce qu’il possédait, il a pris sa femme, son neveu et les autres personnes qui lui appartenaient et s’est dirigé vers un pays que Dieu lui montrerait. C’était un homme de foi que Dieu appellera plus tard «Mon ami».

« Mais toi, Israël, mon serviteur, Jacob, que j’ai choisi, Race d’Abraham que j’ai aimé ! Toi, que j’ai pris aux extrémités de la terre, et que j’ai appelé d’une contrée lointaine, à qui j’ai dit: Tu es mon serviteur, Je te choisis, et ne te rejette point ! Ne crains rien, car je suis avec toi; Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; Je te fortifie, je viens à ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante.» (Esaïe 41:8–10) «Ainsi s’accomplit ce que dit l’Écriture: Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice; et il fut appelé ami de Dieu .» (Jacques 2:23)

Il est facile, pour nous chrétiens, d’accepter l’idée que Dieu se révèle à un homme ; Il s’est révélé à nous. Mais il est peut-être plus difficile de comprendre pourquoi Dieu a fait partir Abram vers une contrée lointaine.

Dieu a choisi la terre d’Israël
Pourquoi Dieu a-t-il choisi la terre d’Israël, ou de Canaan comme on l’appelait à cette époque ? Pourquoi Abram ne pouvait-il pas adorer Dieu dans sa patrie d’origine ?

Dieu appela Abram et lui promit de bénir le monde au travers de lui, et pour accomplir cela, il fallait qu’Il le place au carrefour du monde ancien. Il voulait que le monde polythéiste Le connaisse, Lui le Créateur Tout Puissant, le seul vrai Dieu. Il a donc pris un homme de foi qui était prêt à Lui obéir même s’il ne comprenait pas et l’a mis au coeur du monde ancien. Le pays d’Israël n’est pas très grand; il faut seulement sept heures en voiture pour aller du nord jusqu’à Eilat au sud, au bord de la mer Rouge. Et d’est en ouest au niveau le plus large, il faut deux heures de trajet.

Mais voilà, ce petit bout de terre était le pont entre les continents du monde ancien, comme le montrent les cartes de l’époque qui situaient le centre du monde à Jérusalem en Israël. Le désert inhospitalier longe le côté est et la mer Méditerranée le côté ouest. La Via Maris (Route de la Mer) était la voie principale: les armées y passaient pour aller à la guerre et les commerçants l’empruntaient avec leurs caravanes pour aller acheter leurs marchandises.

À l’époque de la Bible, le rythme était bien plus lent que notre style de vie actuel avec nos voyages dans les airs. Un voyage de sept heures de voiture aujourd’hui prenait alors de longues journées à pied ou à dos de chameau. En traversant le pays, ils entendaient donc parler de ce peuple qui adorait un seul Dieu ; ils recevaient les échos de Ses miracles et faisaient connaissance du Dieu unique. De cette façon, Il révélait Son Nom et Son caractère au monde.

La première raison pour laquelle je crois que nous devrions nous préoccuper d’Israël est que Dieu a choisi cet endroit comme la scène sur laquelle Il Se révèlerait au monde. Et Il a choisi le peuple juif pour qu’il témoigne de Son existence. La Bible a été écrite par des Juifs inspirés par le Saint-Esprit. Aujourd’hui, des milliers d’années après les évènements bibliques et à des milliers de kilomètres de là, des milliards de personnes sont touchées spirituellement et influencent à leur tour leur société et leur culture avec les valeurs et principes décrits dans ces pages saintes!

Dieu aime Israël
La Bible est souvent décrite comme une lettre d’amour de Dieu pour l’humanité. Quand je la lis, je vois en effet de nombreux signes de l’immense amour de Dieu pour les descendants de Son ami Abraham. « Béni soit l’Éternel, ton Dieu, qui t’a accordé la faveur de te placer sur le trône d’Israël ! C’est parce que l’Éternel aime à toujours Israël, qu’il t’a établi roi pour que tu fasses droit et justice.» (1 Rois 10:9) «Il s’est souvenu de sa bonté et de sa fidélité envers la maison d’Israël, toutes les extrémités de la terre ont vu le salut de notre Dieu. » (Psaume 98:3) « Car l’Éternel s’est choisi Jacob, Israël, pour qu’il lui appartînt.» (Psaume 135:4) «En ce jour-là, on dira à Jérusalem: ne crains rien ! Sion, que tes mains ne s’affaiblissent pas ! L’Éternel, ton Dieu, est au milieu de toi, comme un héros qui sauve; Il fera de toi sa plus grande joie; Il gardera le silence dans son amour; Il aura pour toi des transports d’allégresse. » (Sophonie 3:16–17) Dans son livre intitulé Experiencing God, Henry Blackaby dit que nous devrions chercher à savoir ce que Dieu est en train de faire et quel est notre rôle dans Son oeuvre. Je suis toujours surprise de trouver des chrétiens qui aiment Dieu et lisent la Bible, mais ne comprennent pas Son engagement pour Israël et Son intérêt continu pour le peuple juif.

Notre Sauveur juif
Je me demande quelquefois combien nous serons surpris en rencontrant notre Sauveur Yéchoua (Jésus) face à face. Nous grandissons tous avec des images de Lui sur nos murs ou à l’église. La plupart de ces représentations artistiques Lui donnent une apparence européenne. Yéchoua était probablement bien différent; Il était Sémite, juif, et avait certainement le teint mat, les cheveux foncés, voire bouclés, et les yeux bruns. Il a aussi souvent l’air faible, mais je ne crois pas qu’Il l’était; Il parcourait à pied tout le pays avec Ses disciples. Le terrain accidenté d’Israël est composé de collines et de pentes rocheuses et marcher de la Galilée à Jérusalem est une randonnée difficile. De plus, Yéchoua était charpentier ; or le terme grec tekton (τeκτων) traduit par charpentier dans la Bible signifie également constructeur ou artisan. Certains pensent même que Yéchoua travaillait la pierre plutôt que le bois, ce qui était plus commun dans la région. Quoiqu’il en soit, les deux métiers requéraient de la force et des capacités. Je pense que Yéchoua était certainement un homme musclé, un vrai homme, tout sauf, mou ! Imaginez un instant, Yéchoua est la seule personne de toute l’histoire qui ait pu choisir dans quelle famille il allait naître, et Il a choisi d’être juif. Un autre fait, que peu d’entre nous remarquent, est que Yéchoua n’a jamais été identifié comme chrétien. Il est né dans une famille religieuse juive, a vécu Sa vie en gardant la Torah (Gen.–Deut.), a porté un châle de prière, a loué Dieu à la synagogue et au Temple, et a habité au milieu du peuple juif. Il n’est jamais entré dans une église.

Mon père, Dr. David Allen Lewis (que sa mémoire soit bénie), posait aux chrétiens une question qui me semble pertinente: «Comment pouvez-vous aimer Jésus, un Juif, et haïr le peuple juif?» Quand on se marie, on est béni non seulement par un conjoint, mais aussi par une nouvelle famille, nos beaux-parents seront les grands-parents de nos enfants!!! Aucune jeune épouse ne dit à son mari «Chéri je t’aime, mais ta famille ne m’intéresse pas! Je n’ai aucune envie de passer du temps avec eux.» Et si c’était le cas, le mari aurait de bonnes raisons de se demander si elle l’aime vraiment. Aimer son conjoint signifie apprendre à aimer ceux qu’il aime; et si nous aimons notre Messie juif, nous choisirons aussi de nous intéresser à Ses centres d’intérêt et d’aimer ceux qu’Il aime, y compris Sa famille naturelle, le peuple juif.

Dieu est toujours à l’oeuvre en Israël
Comme je l’ai mentionné plus haut, Israël est la scène sur laquelle Dieu a choisi de Se révéler au monde comme le Dieu unique et je ne connais pas de croyants qui nient ce fait historique. Pourtant, beaucoup semblent ne pas reconnaître qu’Israël a toujours du prix aux yeux de Dieu. Deux mille ans après les évènements du Nouveau Testament et environ trois mille ans après ceux de l’Ancien Testament, les chrétiens considèrent souvent Israël hors de propos. Mais Dieu Se révèle encore au monde en accomplissant les promesses qu’Il a faites à Israël; Il prouve qu’Il est fidèle et qu’Il garde Ses alliances. Nous pouvons attendre de Lui qu’Il garde Sa parole, à cause de Sa fidélité, que nous le méritions ou pas.

« Ils sont arrivés chez les nations où ils allaient, et ils ont profané mon saint nom, en sorte qu’on disait d’eux: C’est le peuple de l’Éternel, c’est de son pays qu’ils sont sortis. Et j’ai voulu sauver l’honneur de mon saint nom, que profanait la maison d’Israël parmi les nations où elle est allée. C’est pourquoi, dis à la maison d’Israël: Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel: Ce n’est pas à cause de vous que j’agis de la sorte, maison d’Israël; c’est à cause de mon saint nom, que vous avez profané parmi les nations où vous êtes allés. Je sanctifierai mon grand nom, qui a été profané parmi les nations, que vous avez profané au milieu d’elles. Et les nations sauront que je suis l’Éternel, dit le Seigneur, l’Éternel, quand je serai sanctifié par vous sous leurs yeux .» (Ezéchiel 36:20–23).

Observons quelques façons dont Dieu Se révèle aujourd’hui au travers d’Israël et du peuple juif. Dieu a promis de restaurer le pays:

« Et vous, montagnes d’Israël, vous pousserez vos rameaux, Et vous porterez vos fruits pour mon peuple d’Israël; Car ces choses sont près d’arriver. Voici, je vous serai favorable, Je me tournerai vers vous, Et vous serez cultivées et ensemencées...la terre dévastée sera cultivée, tandis qu’elle était déserte aux yeux de tous les passants; et l’on dira: Cette terre dévastée est devenue comme un jardin d’Éden; et ces villes ruinées, désertes et abattues, sont fortifiées et habitées. » (Ezéchiel 36:8–9, 34–35).

Ne serait-ce qu’il y a cent ans, il semblait impossible de voir ce passage s’accomplir. La Palestine (nom donné au pays d’Israël à partir du 2e siècle de notre ère jusqu’en 1948) était une terre désolée après avoir été négligée pendant des siècles par la domination turque. Les voyageurs de passage étaient estomaqués à la vue du « pays de la Bible » et voici certains de leurs témoignages.

Dans son livre Les Innocents à l’étranger, Mark Twain décrit les plaines désolées de la Palestine dans les années 1800. Il appelle le pays « aride, nu et sans arbres » et décrit les villages comme « laids, étroits, crasseux, inconfortables et répugnants ». Il continue: « On y rencontre une solitude déprimante, des déserts inhabités et des dunes oxydées qui jamais n’abandonnent les reflets féroces de leur relief découpé. » Une phrase particulièrement descriptive dit: « Le village de Tibériade sommeille bêtement sous ses six plumes de palmiers funéraires ; cette pente désolée où les pourceaux de la parabole se jetèrent dans la mer et sans aucun doute pensèrent qu’il était mieux d’avaler un démon ou deux et d’être noyé en échange plutôt que de vivre plus longtemps dans un tel endroit. »

Nahmanide, érudit juif, visita le pays en 1267 et décrivit Jérusalem comme « déserte et usée, et la Judée, plus misérable que la Galilée. » George Sandys, fils d’Edwin Sandys, archevêque de York, était un voyageur anglais, colonialiste et poète. Il rapporta en 1610: «Le pays est sans arbres. C’est une ruine vaste et vide.» Des témoins oculaires racontent qu’il y avait moins d’un millier d’arbres dans tout le pays et pas assez de monde pour le labourer ! Pourtant si vous voyagez en Israël aujourd’hui, vous découvrirez une réalité tout autre. Le pays retrouve sa beauté initiale, comme il est prophétisé dans Esaïe : « Je ferai jaillir des fleuves sur les collines, Et des sources au milieu des vallées; Je changerai le désert en étang, Et la terre aride en courants d’eau; Je mettrai dans le désert le cèdre, l’acacia, le myrte et l’olivier; Je mettrai dans les lieux stériles le cyprès, l’orme et le buis, tous ensemble; Afin qu’ils voient, qu’ils sachent, qu’ils observent et considèrent que la main de l’Éternel a fait ces choses, que le Saint d’Israël en est l’auteur. » (Esaïe 41:18–20)

Dès le début des années 1800, les Juifs ont commencé à retourner en Israël et ont repris le pays en main, démarrant un processus de restauration toujours en cours de nos jours. Ils ont drainé les marais infestés de paludisme, planté des millions d’arbres, irrigué les terres arides, cultivé les champs et fait pousser plus qu’il n’en fallait pour couvrir les besoins des habitants. Le pays qu’Ezéchiel appelait le «plus beau de tous les pays» (20:6) revient effectivement à sa gloire d’origine. Dieu a promis de ramener le peuple juif: Les prophètes d’Israël ont annoncé un jour où le peuple juif reviendrait à son ancienne patrie depuis les pays de la Diaspora.

« Je ramènerai les captifs de mon peuple d’Israël; ils rebâtiront les villes dévastées et les habiteront, ils planteront des vignes et en boiront le vin, ils établiront des jardins et en mangeront les fruits. Je les planterai dans leur pays, et ils ne seront plus arrachés du pays que je leur ai donné, dit L’Éternel, ton Dieu. » (Amos 9:14–15)

« Quand je les ramènerai d’entre les peuples, quand je les rassemblerai du pays de leurs ennemis, Je serai sanctifié par eux aux yeux de beaucoup de nations. Et ils sauront que je suis l’Éternel, leur Dieu, Qui les avait emmenés captifs parmi les nations, et qui les rassemble dans leur pays; Je ne laisserai chez elles aucun d’eux… » (Ezéchiel 39:27–28)

Aujourd’hui, parmi les six millions de Juifs qui vivent en Israël, plus de trois millions sont les descendants d’immigrants, et nombre d’entre eux sont les enfants ou petits enfants d’immigrants. Ils continuent d’affluer de tous les continents. On estime qu’il y a 14 millions de Juifs dans le monde, dont le plus grand groupe est en Israël pour la première fois depuis presque 2000 ans. Dieu est en train d’accomplir les promesses qu’Il a faites aux prophètes de ramener Son peuple en Israël.

Dieu nous appelle à devenir Ses partenaires
«Levez-vous, montons à Sion, vers l’Éternel, notre Dieu ! Car ainsi parle l’Éternel: Poussez des cris de joie sur Jacob, éclatez d’allégresse à la tête des nations! Élevez vos voix, chantez des louanges, et dites: Éternel, délivre ton peuple, le reste d’Israël !» (Jérémie 31:7) Lorsque les Écritures emploient le nom «Jacob», il est toujours fait référence à Jacob lui-même ou au peuple juif, jamais à l’Église. Je crois donc que Dieu demande aux chrétiens du monde entier de faire ces choses pour le peuple juif.

• «Poussez des cris de joie sur Jacob»—Se réjouir de ce Dieu est en train de faire.
• «Éclatez d’allégresse à la tête des nations!»—Élever la voix pour Israël auprès de ceux qui peuvent faire une différence.
• «Élevez vos voix»—Parler de ce que Dieu est en train de faire, raconter l’histoire d’Israël.
• «Chantez des louanges»—Remercier Dieu de garder Ses alliances.
• «Et dites: Éternel, délivre ton peuple»—Prier pour la complète restauration et rédemption d’Israël.

Bridges for Peace propose, aux croyants, de nombreuses façons de s’investir pour Israël et pour les plans de Dieu afin de révéler au monde Son caractère et Sa gloire. Nous espérons que vous avez trouvé votre manière de défendre activement Israël. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez visiter notre site Web et choisir une façon de vous joindre à Dieu alors qu’Il démontre au monde, sur la scène d’Israël, qu’Il est Dieu.


Bibliographie
Blackaby, Henry. Experiencing God. Nashville, TN: Broadman and Holman Publishers, 1989.
Brimmer, Rebecca J. Israel and the Church: God’s Road Map. Jerusalem: Bridges for Peace, 2006.
Falk, Harvey. Jesus, the Pharisee, a New Look at the Jewishness of Jesus. Eugene, OR: Wipf and Stock Publishers, 2003.
Flusser, David. Jesus. Carlsbad, CA: Magnus Press, 1998.
Friedman, David. They Loved the Torah: What Yéchoua’s First Followers Thought about the Torah.
Clarksville, MD: Messianic Jewish Publishers, 2001.
Lewis, David. Can Israel Survive in a Hostile World? Green Forest, AR: New Leaf Press,1994.
Twain, Mark. Innocents Abroad. 1869. Wikipedia, encyclopédie en ligne, www.wikipedia.org
Wilson, Marvin. Our Father Abraham: Jewish Roots of the Christian Faith. Grand Rapids, MI: William B. Eerdmans Publishing, 1989.


Traduit de l’anglais par Rilla Auzolat
Sauf mention contraire toutes les références bibliques proviennent de la version Louis Segond, 1910, Alliance Biblique Universelle.


Terminologie:
Un grand nombre de nos lecteurs appuient Israël de longue date, alors que d’autres ont commencé plus récemment à saisir l’importance de se montrer solidaires du peuple choisi par Dieu. Certains préfèrent les noms et les termes hébraïques, d’autres sont plus à l’aise avec la terminologie chrétienne traditionnelle. Dans un souci de respect de tous nos lecteurs et dans le but de favoriser une lecture à la fois éducative et agréable, nous mettons tout en oeuvre pour utiliser les deux catégories de termes, dans la mesure du possible. Voici quelques exemples:
• Jésus (Yéchoua)
• Tanakh (Ancien Testament, A.T.). Tanakh est un acronyme hébraïque des termes Torah, Neviim (Prophètes) et Ketuviim (Écritures).
• Écritures des apôtres (Nouveau Testament, N.T.)
• Torah (Genèse - Deutéronome)